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Mères indignes, Nouvelles

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Huit histoires de "mères indignes" teintées d'humour noir.

Des drames familiaux, des situations cocasses qui choquent ou font sourire.

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Céline est une jeune mère célibataire qui, épuisée par les pleurs de son bébé, va commettre l’impensable.

Aurélie rêve de calme. Elle a trois enfants à la maison, trente-deux à l’école. Elle n’a plus la force de répondre aux questions incessantes et décide de prendre la fuite.

Agnès est démunie face à son fils de dix-sept ans qui ne lui répond plus que par monosyllabes et se réfugie dans un monde virtuel.

Elsa se rend dans la maison de son enfance pour l’enterrement d’un être cher. Sa mère a organisé un éloge funèbre un peu particulier.

Olivia tente de faire entendre à sa grand-mère son enfance meurtrie, passée aux côtés d’une mère perverse narcissique.

Caroline a sombré dans l’alcoolisme. Sa débauche a duré une journée de trop.

Sabine est surnommée madame Oups. Son trouble de l’attention lui gâche la vie. Elle a peur de décevoir sa fille et son mari. Elle oublie tout, même de leur dire qu’elle les aime.

Extraits choisis...

"Dormir"

C'est toujours la même histoire. Je pense toujours que c'est le bon. Stupide. Illusoire. C'est d'ailleurs lui qui a suggéré que j'arrête la pilule.

"Un clic pour une claque"

23h57. Dans trois minutes, elle coupera le wifi et entendra des hurlements, des insultes. Petit rituel du soir. 

23h59. L'angoisse monte. Le doigt sur la box, Agnès regarde l'horloge du salon. Crispée, redoutant la bombe prête à exploser, elle fait le décompte 5, 4, 3, 2, 1, elle appuie.

Silence.

Agnès tend l'oreille, mais ne perçoit rien d'autre que la trotteuse qui continue son chemin, imperturbable. 

"Une journée de trop"

C'est parti pour quarante-huit heures de débauche. En sortant du supermarché, Caroline écoute Billie Holiday dans la voiture, l'incarnation du génie défoncé. Elle l'adore. Dans le coffre, un paquet de pain de mie, des chips, une bouteille de gin et six bouteilles de vin. Tout doit disparaître. L'assouvissement de son désir approche. Euphorique avant même d'y avoir trempé les lèvres, elle pense au gin tonic qu'elle va concocter en arrivant chez elle et se demande s'il y a encore des glaçons dans le congélateur. [...]

Depuis quelques mois, elle ne sort plus. Elle n'a plus le courage d'attendre que ses copines aient fini leur verre pour en commander un nouveau. Ce soir, elle va continuer le livre qu'elle a commencé le week-end précédent, elle a bien l'intention de le finir avant que sa vue se trouble. 

"À poings fermés"

Durant les rares moment d'accalmie, elle se fait couler un bain et quand les pleurs reprennent, elle plonge la tête sous l'eau, éloignant l'écho insupportable de son impuissance. Elle se dit qu'il serait mieux sans elle. À quoi bon tant d'efforts pour maintenir la tête hors de l'eau...

Avis de lecteurs...

« Luce Caron a un regard cynique et féroce sur les “joies” de la maternité. »

***

« Une découverte inattendue et magnifique, très émouvante et très surprenante. À vous maintenant d’oser découvrir cette autrice encore méconnue, mais qui a de beaux jours devant elle. »

***

« Un vrai regard neuf, direct, sans pathos ni faux-semblants. »

***

« J’ai alterné entre sourire aux lèvres et boule dans la gorge.

J’ai adoré le côté mordant et cynique que l’auteure a choisi pour aborder des thèmes choc. »

***

Retrouvez toutes les critiques du livre sur www.babelio.com

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